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Une sorcière et un ogre, jugés trop vieux, n’ont plus le droit d’exercer. Incapables de se résigner, les deux monstres s'évadent de la maison de retraite pour tenter de faire peur une dernière fois. Leur chemin croise celui de Nina. La petite fille s’ennuie pendant ses vacances qu’elle doit passer chez sa Tante Pissenlit, une femme bête et méchante qui lui a confisqué sa peluche. Les deux créatures vont aider la petite. Une pièce jeune public qui parle, avec le sourire et la légèreté nécessaires aux choses graves, de la peur, de la mémoire, du temps qui passe et de la séparation.
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L’auteur : Très tôt, Nathalie Saugeon s’est intéressée à l’art dramatique. Elle a suivi des cours de théâtre, dans lesquels elle a commencé à écrire de courtes scènes. Puis, parallèlement à ses études de lettres modernes, elle a écrit plusieurs pièces, dont Histoire de vivre qui a été créée par la Compagnie Caravane et représentée plus de 300 fois en France et à l’étranger. Pas de fleur pour Maman a été créée au Théâtre de Poche Montparnasse et Face au Paradis au Théâtre Marigny à Paris. Elle est boursière de l’association Beaumarchais-SACD et soutenue par le Centre National des Lettres.
Elle est également scénariste pour le cinéma et a travaillé, entre autres, sur Ali Zaoua, prince de la rue et Whatever Lola wants de Nabil Ayouch, ou Mascarades de Lyès Salem.
À ce jour, elle a aussi réalisé deux court-métrages : Un 14 juillet et Fils de Justicier. -
OuvragesPièce uniqueAuteurNathalie SaugeonÂges9+Rôles6Durée45Nombre de pages47ISBN978-2-9526097-7-7
Dernier ouvrage paru
Ces trois œuvres fortes explorent le destin de trois femmes d’exception : CAMILLE CLAUDEL, sculptrice au génie précoce et à la sensibilité brûlante, dont le talent fut trop longtemps étouffé ; ARTEMISIA GENTILESCHI, peintre audacieuse qui imposa sa vision dans un monde hostile ; et ASMAHAN, voix libre et singulière du monde arabe, déchirée entre modernité et traditions. Toutes trois ont su transformer leur douleur en force, refuser l’invisibilité imposée par un univers dominé par les hommes et sublimer leurs blessures par la puissance de l’art.